Temps d’échange parrains, accueil des parrains en projet Mardi 23 novembre 2021
Le temps d’échange parrains s’est déroulé mardi 23 novembre 2021 de 20h à 21h30 en visio.
21 personnes ont participé.
Des parrains ont témoigné sur leur parrainage. Des personnes murissant un projet de parrainage ont partagé leurs interrogations.
Parmi les sujets abordés :
- Nous avons rencontré une filleule en attente de parrainage. Une fois que le parrainage est devenu concret, La maman a arrêté le projet. Nous comprenons très bien, c’est difficile de confier son enfant.
- Quand j’ai connu ma filleule, la maman était en difficulté. Elle aime ses enfants mais manquait de force. Depuis je vois le chemin parcouru. J’ai d’abord vu que quand je venais j’étais attendue avec un petit café et un gâteau qu’elle confectionnait. On a fait du shoping ensemble car elle avait de nouveau envie de prendre soin d’elle. Puis maintenant elle travaille. Elle a géré pour que les enfants soient en périscolaire et garderie et ça va vraiment bien. Et on peut dire qu’on a une relation d’amitié.
- Je parraine ma filleule depuis deux ans. C’était tellement compliqué pour elle au début. Elle allait mal. Elle vit dans un foyer. Elle s’est posée dans sa vie. Elle va mieux.
- Mon filleul vit dans un foyer et ne connait pas ses parents. Il nous a demandé de l’adopter alors que nous commençons seulement le parrainage. Il m’appelle maman. Je lui répète que nous sommes des parrains pas des parents. C’est compliqué pour lui. Nous travaillons avec les éducateurs pour mettre la juste distance, installer la juste relation de parrainage.
- Nous pouvons faire plus de sorties maintenant avec ma filleule. Elle peut assister tranquillement à un spectacle. Elle se pose depuis qu’elle est au foyer.
- Je ne suis plus jeune. Je n’étais même pas sûre que je puisse parrainer un enfant. Et puis me voilà marraine de deux enfants avec tellement de bonheur. Les enfants et la maman sont tellement contents et me remercient. Ils m’apportent autant ou plus que je leur apporte.
- Mon filleul fait de grosses bêtises, il est souvent sanctionné à l’école et à la maison. Je marque chaque fois clairement ma désapprobation. Et je lui montre qu’il compte pour moi et que je suis présent pour lui.