Le temps d’échange parrains s’est déroulé mardi 18 janvier 2021 de 20h30 à 22h en visio.
20 personnes ont participé.
Des parrains ont témoigné sur leur parrainage. Des personnes murissant un projet de parrainage ont partagé leurs interrogations.
Parmi les sujets abordés :
- la maman de notre filleul dit qu’elle n’a pas pu parler du parrainage à ses parents car, selon elle, ils vont penser qu’elle est une mauvaise maman puisqu’elle demande de l’aide. C’est dommage qu’elle se sente jugée. Au contraire c’est une grande générosité envers son enfant de lui permettre de s’épanouir avec d’autres adultes.
- nous avons fait connaissance de notre filleul et de sa maman il y a quelques jours, c’était la première rencontre. Il a 4 ans. Il a été très vite à l’aise. Nous avions acheté à Emmaüs quelques petits jeux de son âge et il a été intéressé.
- Nous allons rencontrer notre filleule demain. Elle a 13 ans. C’est un moment important.
- La maman est très en demande, elle s’occupe bien de son petit garçon mais elle se sent seule avec lui. Pourtant elle a plusieurs sœurs, des parents qu’elle voit régulièrement. Elle recherche un soutien par rapport à son rôle de maman. Et nous souhaitons apporter cela.
- je fais le projet de parrainer un enfant handicapé, autiste de préférence. J’ai déjà l’expérience d’avoir aidé une maman d’un enfant autiste.
- la relation de parrainage avec ma filleule évolue bien. Nous sommes loin des premiers temps où elle était en opposition. Au début, une fois elle m’avait échappé dans la rue et tellement inquiétée. Aujourd’hui il y a davantage de confiance réciproque.
- Je pensais que je serais davantage sollicitée par la maman pour l’aider avec son fils. Je m’attendais à donner davantage de temps. Nous nous voyons régulièrement et la relation est de bonne qualité mais il a des tas d’activités et une vie de famille, pas autant de temps que je l’aurais souhaité. J’aurais pu donner plus pour un enfant avec davantage de besoins. J’ai peut-être du temps pour un deuxième filleul, c’est à réfléchir.
- j’ai de la chance dans ma vie. Je commence à me poser professionnellement. J’atteins un peu de stabilité. Je me dis que je pourrais partager un peu avec un enfant qui en a besoin. Je muris tranquillement mon projet de parrainage.